Malgré l’instauration de la «taxe sur l’éclairage public» par la mairie, le noir s’observe dans la plupart des artères de la ville de Bukavu. D’un coin à un autre, d’une avenue à une autre, d’un quartier à un autre, des cas d’insécurité ne cessent d’accroitre à cause de l’obscurité.
Pour pallier à ce défi, Maie-Jeanne Zihalirwa, femme leader et cadre du parti Union pour la Nation Congolaise, a depuis le lundi 07 mars, député l’installation des lampadaires sur certains artères publics de la ville de Bukavu. Cela dans le but de combattre l’insécurité qui est devenue monnaie courante dans la ville.
Les premiers jalons sont visibles sur avenu du gouverneur, à Nyawera, sur avenue saio, sur avenue Nyofu et dans plusieurs autres coins où le manque d’éclairage publique se vivait.
De leur côté, les habitants qui se sont confiés à la rédaction d’Echos de l’évangile magazine, n’ont pas hésité à exprimer leurs sentiments. Ils remercient cependant Marie-Jeanne Zihalirwa pour avoir pensé à initier un projet combien impérieux.
«Nous avons constaté, un petit matin en se réveillant que toute l’avenue est éclairée par les éclairages public-solaire, l’installation a débuté depuis le lundi passé et ce ne pas seulement cette avenue, en parcourant la commune d’Ibanda vous allez constater que de l’entree du gouverneur chaque après 10 min ou 29 par estimation, il y a un lampadaire bien équipé avec des poteaux et qui éclaire aux alentours de 20 mètres, et c’est jusqu’à Nyawera , ndendere vers avenue saio ».
Et de poursuivre :
« C’est un sentiment de satisfaction de voir que dans notre avenue Nyofu il y a déjà de l’éclairage public grâce à une femme leader, une femme qui se démarque de toutes les autres autorités, madame Marie-jeanne Zihalirwa. Elle intervient toujours à chaque que la population a besoin d’elle. Trouver une femme qui se taille la place dans la société, c’est une chose à encourager »
Notons que cette initiative qui s’exécute progressivement va s’étendre sur toute la ville de Bukavu et ses environs, surtout les coins où les cas d’insécurité sont couramment signalés.
Par Tecla Kahirho