Jérôme Lavrilleux, à l’époque directeur de cabinet de M. Copé et directeur-adjoint de la campagne, et seul à l’UMP à avoir reconnu la fraude, assure que ni son patron, ni Nicolas Sarkozy, n’avaient été mis au courant.

Les autres anciens cadres de l’UMP et de la campagne ont évité de parler de l’ex-président. « Les décisions se prenaient à l’Elysée », a-t-on tout au plus entendu.

Le procès est prévu jusqu’au 22 juin.

Avec la Libre