Pendant que les conflits armés n’a pas encore dit son dernier mot dans le massif d’Itombwe dans la province du Sud-Kivu et avec des violences à répétition caractérisée par la persécution de toutes sortes, les rivalités entre différents communauté ou encore la destruction méchante des structures sanitaires par les différents belligérants… ,Suscitant une urgence sanitaire et humanitaire pour la population.c’est ainsi que MSF« Médecins Sans Frontières » annonce avoir réhabilités plusieurs structures sanitaires, après qu’elles soient ravagees, brulees ou pillées, lors de la présentation du rapport annuel pour l’exercice 2018 en Republique democratique du Congo mais aussi celui concernant particulièrement la province du sud-kivu sur la période allant de janvier 2019 au mois juin, dans un café presse tenu ce jeudi 4 juillet 2019 a Bukavu.
Pour le chef de mission de MSF Hollande , Fernando Galvan, les interventions de son organisation s’inscrit du rôle classique de MSF de porter assistance aux personnes victimes de conflits, les épidémies et pandémies ;les catastrophe naturelles et le manque d’accès aux soins
« Au sud-kivu MSF est dotée de deux équipes de réponses aux urgences a travers la province qui ont pour vocation de répondre aux urgences sanitaires et humanitaires dans un court délai et par des actions médicales ponctuelles visant a limiter la morbidité et la mortalité » a-t-il renseigné
Par ailleurs avec le conflit armés qui sévit dans le massif d’Itombwe et dont plusieurs structures sanitaires ont été sabordés par les différents protagonistes, notre source affirme que son organisation est venue à la rescousse en faveur de cette population vulnérable :
« Depuis juin 2019, MSF soutient l’hôpital général de référence de Mikenge et cinq centresde santé dont Mikenge, Kipupu, Milakati, Tulambo et Aleba. Ces structures sont à nouveau opérationnelles après trois semaines sans activités » a-t-il ajouté.
Signalons que MSF intervient en collaboration avec le ministère de la santé, en offrant des soins médicaux aux victimes et de violences, aux personnes déplacées ou encore celles souffrant de toutes sortes d’épidémies ou pandémies.
Par Fulgence Rukata.