ECHOS DE L'EVANGILE MAGAZINE Promotion des Informations Chrétiennes
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Beaucoup d’interrogations surgissent sur la situation qui défraie l’actualité du Gospel Congolais, après le Scandale-Sexuel entre la chanteuse Zawadi et Mike Kalambay (très connu et qui a déjà fait parler de lui dans un autre scandale de violence domestique dont son Ex-femme lui avait accusé).
Echos de l’Evangile Magazine y revient, non pas pour cibler, condamner mais pour rappeler les bases de la parole de Dieu, sur des situations de chutes dans l’Église.
D’abord Zawadi mère de 4 enfants et femme mariée, qui s’est laissé conduire dans l’adultère, et en suite venir accuser devant la face du monde son amant (Mike Kalambay) de viol. Pourquoi ? et quelle était la motivation qui a conduit à tout cela ?
Et surtout pourquoi avoir consenti à faire l’adultère puis en suite venir raconter être victime de viol pendant cet adultère ?
Dans une vidéo format-direct qui circule sur les réseaux sociaux, on peut bien écouter la chanteuse avouer que la décision de commettre l’adultère était prise avec son consentement, puis pendant leur moment au lit, son ‘’agresseur’’ Mike Kalambay a demandé une position dont Zawadi n’a plus voulu, expérimentée et c’est ainsi qu’elle a été agressée et contrée à la pratiquer. Ce que du point de vue juridique est devenu un viol ! (Malheureusement parmi les vidéos qu’elle-même aurait filmés pour appuyer ces accusions, on n’y voit pas cette séquence de viol)
Par ailleurs l’accusé n’a pas réagi pour donner sa version de faits, mais a tout simplement écrit une lettre demandant pardon à l’Eglise et en suite démissionnant de son rôle d’ambassadeur du Mouvement ‘’MAAJABU’’ qui vise à promouvoir la musique chrétienne et dont il faisait partie comme membre du staff.
L’affaire n’a pas encore été portée devant un tribunal, mais tout a été exposé sur les réseaux sociaux, et les internautes jugent chacun selon son choix.
Certains parlent de coup monté, piège, et recherche du buzz, pendant que d’autres condamnent les deux artistes qui se sont livrés au péché !
C’est de cette manière que votre Magazine a sollicité l’interview des deux artistes qui n’ont pas tous répondus à des demandes d’interview sollicitée. Et la question qui reste dominante parmi des milliers est de savoir : « Entre Mike et Zawadi, qui de deux aurait intérêt que leur histoire soit rendue publique ? »
Visiblement, tous deux avaient une réputation à protéger, devant Dieu tous deux ont péché, viol ou pas ils étaient dans le péché ?
Et pourquoi Zawadi a rendu l’affaire publique au lieu de consulter les sages de son Eglise ? ou au lieu de se repentir devant Dieu pour son adultère ?
C’est avec ces questions sans réponses, que nombreux observateurs approuvent la théorie de la recherche du Buzz par l’artiste Zawadi.
Mike Kalambay de nouveau perdu toute sa crédibilité après son divorce et l’accusation de violence domestique que son ex-femme avait porté contre lui en 2019. C’est ainsi logiquement qu’il a demandé pardon à l’Eglise et démissionnant du label MAAJABU dont il était devenu ambassadeur pour la promotion de la Musique Chrétienne. Sa carrière musicale est affectée et il a perdu toute sa crédibilité au sein de l’Eglise congolaise.
Quant à Zawadi ; désormais sur toutes les bouches, à la Une des médias, elle est en fin connu du grand public ! S’adressant au tribunal de réseaux sociaux, ses chansons sur sa chaine Youtube sont partagées désormais et tout le monde veut en savoir plus de sa Vie.
C’est peut-être ce qu’elle aurait voulu, surtout qu’il n’y a aucune preuve matérielle de viol (à part sa parole) qu’elle a exhibée pour valoriser ses accusations.
Le fait pour Zawadi d’accepter l’adultère, elle a péché contre Dieu et en suite le fait pour elle de remettre cette histoire sur les réseaux sociaux, elle a humilié l’Eglise Chrétienne qui est désormais accusée de regorger des pécheurs en son sein. Zawadi victime de viol ou nom, au nom de l’Evangile pouvait traiter la question dans la sagesse Divine sans chercher à déshonorer l’Evangile du Christ en soumettant l’affaire au tribunal de réseaux sociaux.
Tribune de Christian Joseph Musenge
