Candidat député national numéro 65 et provincial numéro 98 dans la circonscription électorale de Bukavu, Pascal Isumbisho Mwapu est le président national du Parti du Réveil et de l’Action pour la Défense des Intérêts du Souverain « PARADISO » et membre du regroupement de l’alliance pour la transformation intégrale du Congo « ATIC ». Professeur d’université et enseignant dans plusieurs institutions universitaire, à travers le pays. Ancien ministre de la fonction publique et ancien directeur général de l’Institut Supérieur de Développement Rural(ISDR). Très connue pour son engagement dans la lutte contre certaines antivaleurs qui prévalaient dans le milieu académique lors de sa prise de fonction à l’ISDR Bukavu, mais également sa clairvoyance et sa perspicacité, en qualité de ministre de la fonction publique dans la maitrise des effectifs des agents et fonctionnaire de l’Etat, la mise a la retraite des agents, et la fin du phénomène des agents fictifs sans oublier le rajeunissement de la fonction publique ,en instaurant l’école nationale de l’administration « ENA », Pascal Isumbisho sollicite le vote des habitants de Bukavu en vue de la restauration de l’autorité de l’Etat à tous le niveau.
Très réserve, calme, discret et fuyant parfois le protocole, Pascal Isumbisho que certains sud-Kuvuciens en général et le bukavien en particulier appelle « mwalimu wa mabadiliko » et figurerait parmi ses rares intellectuels qui ont un bilan positif à présenter une fois après avoir accéder à la gestion de la chose publique.
Pascal Isumbisho, renseigne que son engagement politique découle de la misère qui sévit au sein de la population congolaise, surtout un manque des hommes intègre capable d’apporter des solutions aux problèmes générales qui rongent la société congolaise.
Le combat politique du candidat député national numéro 65 et numéro 96 à la députation provincial, tente de répondre à la question fondamentale et paradoxale qui taraude plus d’un observateur qui se demande : « pourquoi un pays potentiellement riches, doit-il avoir un peuple réellement très pauvre ? »
C’est ainsi que Pascal indique que son combat, et celui de son parti « PARADISO », se fonde sur trois piliers à savoir :
- Le travail: « lorsque nous parlons du travail c’est-à-dire un travail qui produit les ressources. Pas passer huit heures au travail mais huit heures des travaux car il faut reconnaitre que les congolais ne travaillent plus et il faut les remettre au travail ».
- L’intégrité: « l’intégrité car le travail va créer des ressources et ces ressources doivent être gérées par des hommes et des femmes intègres ; ce qui se résume dans les termes de la bonne gouvernance ».
- La solidarité: « par la solidarité on sous entend que les ressources qui ont été créées soit bien gérer et qu’elles doivent être réinvestis de manière que tous citoyens se retrouvent là où il est ».
Quant à la compétence requise pour défendre la cause du peuple dans l’hémicycle national et provincial et la connaissance des problèmes qui préoccupent ce dernier, Professeur Pascal Isumbisho, explique : « étant donné que je suis née et grandi à Bukavu, mais également avoir la chance d’être directeur général de l’ISDR/Bukavu et Ministre National de la fonction publique; toutes ses fonctions m’ont permis, de connaitre les vrais problèmes que traversent la province et le pays en général. Il n’est un secret pour personne, notre beau pays à des sérieux problèmes dans presque tous les domaines de la vie. Cependant le plus grand problème est celui des hommes qui sont censés diriger la République, mais qui malheureusement s’illustrent par toutes sortes des bévues et antivaleurs. C’est ainsi qu’une fois à l’hémicycle national ou provinciale, la priorité des priorités serait la restauration de l’autorité de l’Etat à tous le niveau ».
C’est pourquoi le candidat député national numéro 65 et provincial numéro 96 dans la circonscription électorale de la ville de Bukavu sollicite le vote des électeurs, en jetant leur dévolu sur sa candidature surtout que ces élections sont d’une grande portée avec des enjeux de taille. En saisissant cette opportunité inouïe d’avoir un candidat, qui n’a aucun antécédents en termes de détournement de fonds ou toutes autres formes des antivaleurs, ni par des discours démagogues ou des vaines paroles mais pour qui ses œuvres parlent d’elles même en y apportant des solutions : « toutefois ces solutions et d’autres initiatives pour le bien être de la population doivent être mieux assumées par les autorités du pouvoir dans lequel il fera parti après les élections pour que le peuple congolais puisse vivre le paradis sur terre vue l’immensité de ses ressources humaines, minéralières, minières… » A-t-il conclut.
Par FULGENCE RUKATA