Apres un incendie dont a été victime le centre culturel Ndaro considéré comme l’une de grande école de la musique du Sud-Kivu. Les activités viennent de reprendre grâce aux activités d’entretien et d’aménagement menés par les jeunes encadres par ce centre culturel. Dans un entretien avec votre magazine, le maestro Thomas Lusango plaide pour le soutient des personnes de bonne volonté en vue de permettre à ce centre de reprendre effectivement ses activités d’encadrement de la jeunesse
C’était le nuit du dimanche 14 au 15 Octobre 2018, que le feu qui serait partie d’une boulangerie non loin du studio avait ravage une partie du centre Ndaro situe à l’hôtel des postes et occasionnant ainsi la perte des certains instruments et matériels de studios mais heureusement le dépôt était reste intact grâce aux efforts de certains jeunes qui dormaient dans le centre.
Malgré cette perte, le centre Ndaro s’est démené par les moyens de bords, pour installer l’électricité et peindre le centre afin de reprendre les cours de musique comme la batterie, la percussions, le piano et d’autres matières dans le domaine musicale pour produire des artistes musiciens professionnel pour le bien de la communauté.
A cet effet, le Maestro Thomas Lusango déplore le délaissement des autorités lors de cette dure période qu’a connu le centre Culturel Ndaro qui sert la communauté par la formation des jeunes et réduire ainsi le taux chômage et de banditisme au Sud-Kivu. Pour l’heure est au soutient de cette initiative qui profite au gouvernement congolais et toute la communauté
« Nous avons beaucoup à faire parce qu’il faudra racheter les instruments non seulement comme des guitares, violons, batteries, flutes pour l’école et d’autres matériels pour le studio.il faudra reconstruire les studios audio et aussi vidéo (…) Nous demandons aux personnes de bonne volonte de passer à Ndaro nous remettre une guitare, une corde de guitare, une vice, tout ce qu’ils peuvent avoir, même un 1000FC, ça peut marcher » indique-t-il
En somme, le centre culture Ndaro forme et a forme plusieurs artistes locaux et des différentes Eglises sur les notions de bases de la musique et demeure le seul centre culturel du Sud-kivu à part l’Institut français qui dispose d’un cadre de travail pour les jeunes artistes de la province
Par LONI Irenge Joe